Sarah Bernhardt est née le 25 septembre 1844 à Paris et est morte le 26 mars 1923 à Paris.
• Les grandes étapes de la carrière de Sarah Bernhardt ont été le conservatoire en 1859 ensuite la comédie française, le théâtre Odéon de 1866 à 1874, le théâtre de la renaissance, elle devient directrice du théâtre de la nation appelé Théâtre de Sarah Bernhardt puis elle devient actrice de cinéma.
• Sarah fut surnommé "La voix d'or, La divine, la scandaleuse, l'impératrice du théâtre, le monstre sacré".
• Elle avait une voix chantante avec un petit accent anglais, qui plaisait.
Sa devise était "quand même".
• " Je travail le mécanisme, je l'apprends par cœur, mot à mot : je mâche, je triture les phrases de manière à en être absolument maîtresse dans la rapidité du dialogue mais une fois que je sais parfaitement mon texte, que je le tiens par l'articulation, je m'en occupe plus '' ceci était sa manière de travailler.
• Sarah Bernhardt associe son nom à la promotion, la publicité, de pièce de théâtre, pour du parfum, la mode, des bijoux, des objets de décorations, du mobiliers...
• Les supports qui lui permettent de véhiculer son image sont Nadar et Mucha pour la photo.
• Alfons Mucha et Sarah Bernhardt se sont rencontrés dans les circonstances entre mythe et réalité. Sarah aurait demandé à réaliser une affiche pendant noël 1894, et ce serais Mucha qui l'aurait réaliser.
• L'impact de cette rencontre sur la carrière de l'un et l'autre est que Sarah proposa un contrat à Mucha pour la création de décors, de costumes et d'affiches. Mucha à signé un contrat aussi avec l'imprimeur Champenois.
• Le nom de l'affiche qui a joué un rôle particulier par rapport à leur carrière est " Gismonda " car c'est grâce à cette affiche que Mucha est devenu célèbre.
Sonnet d'Edmond Rostand
En ce temps sans beauté, seule encor tu nous restes,
Sachant descendre , pâle, un grand escalier clair,
Ceindre un bandeau, porter un lis, brandir un fer,
Reine de l'attitude et princesse des gestes.
En ce temps sans folie, ardente, tu protestes !
Tu dis des vers. Tu meurs d'amour. Ton vol se perd.
Tu tends des bras de rêve, et puis des bras de chair.
Et, quand Phèdre paraît, nous sommes tous incestes.
Avide de souffrir, tu t'ajoutas des cœurs ;
Nous avons vu couler - car ils coulent, tes pleurs ! -
Toutes les larmes de nos âmes sur tes joues.
Mais aussi tu sais bien, Sarah, que quelquefois
Tu sens furtivement se poser, quand tu joues,
Les lèvres de Shakespeare aux bagues de tes doigts !
faites la chasse aux erreurs orthographiques.
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